A travers TOHU-BOHU, Selim Ben Safia et Lolita Morales souhaitent exprimer par leurs corps un peu de la complexité des combats à mener pour parvenir à être sur scène.

Sans réponse illustrative, ils souhaitent communiquer des états.

Partager avec l’autre, l’inviter à réfléchir et à débattre.

Partager un peu ce souffle commun : lien vital qu’ils ont avec de nombreux artistes et qui ne s’arrêtera pas encore.

La recherche que les deux artistes ont entamée ne prétend pas livrer LE portrait d’une nouvelle génération indissociable, séparée par la Méditerranée.

Il ne s’agit pas de LA Tunisie, il ne s’agit pas de LA France, mais bien d’individus issus d’une culture et d’un pays leur ayant inspiré ces questionnements et qui livrent, par gestes, leurs visions, leurs expériences.

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